Urgence fortes chaleurs
Pour rappel, notre association est à l’origine de la rédaction d’une requête en référé liberté auprès du Tribunal administratif de Montpellier. Elle était adressée à l’encontre de la préfecture et de la mairie pour les obliger à agir urgemment quand la chaleur monte dans les établissements scolaires. Prétendre qu’une canicule en juin n’était pas anticipable et que, pour des raisons d’écologie ou de délais de commande publique, on maintienne élèves et personnels dans des conditions dangereuses pour leur santé, cela est intolérable. Nous avons donc montré que nous étions prêts à passer par la voie judiciaire.
Sauvées par la pluie et une baisse des température, les écoles ont pu souffler et la requête a été rejetée. Mais nous nous tenons prêts. La requête reste au frais, elle.
